Lors d’un débat mouvant, des personnes issues des mondes de la paysannerie, du militantisme et de la recherche s’interrogent sur les avantages et les inconvénients d’une série de formules pour désigner, au sein de collectifs de lutte plus larges, des terres qui seraient retirées de tout rapport productif et largement soustraites à l’emprise humaine.